Se soumettre, c’est accepter de se couper de ses rêves.
La proximité permanente, entre autre dans la vie conjugale, met en relief toutes les petites différences qui, au fil du temps, deviennent des obstacles infranchissables.
On voit tout sur les visages. Au fil du temps tout se grave.
Mieux vaut un mot vrai que de grands discours. On cache beaucoup de choses derrière des flots de paroles: peur, émotion, sentiment et même sa nullité.
On est toujours exilé de quelque chose, de sa jeunesse, de son enfance, quelques fois de soi même!
L’exil, c’est n’être bien nulle part, sans racine, sans attache.
De l’autre côté? la même chose à l’envers?
Le manège? Premier voyage sans ses parents de l’enfant; apprentissage de la vie où nous tournons, tournons indéfiniment!
L’infidélité? En fait, c’est la recherche sans fin de l’homme idéal; en somme une sorte de fidélité à soi-même.
Jamais on ne trouve le mot juste et si, par bonheur, on croit l’avoir trouvé, erreur, l’autre le lit, l’entend avec une autre signification.