À la manière d’un mathématicien

La spirale de la vie s’obtient en multipliant le nombre de temps et de dents perdues par le nombre de petits-enfants et de petits ennuis, soustraction faite des grandes passions et des petites chéries, puissance de travail au carré de la maison, cosinus bêta mais tendant quand même vers l’infini.