La vérité, c’est que je t’aime
La vérité, c’est que je t’aime
J’aime l’ascenseur qui s’arrête et le bruit de ta clé
J’aime la porte qui s’ouvre et l’appel de mon nom
J’aime ton regard sur moi et tes bras qui me serrent
J’aime ta pipe allumée, le journal froissé, l’épaule un peu voûtée.
J’aime l’homme qui apparaît dans sa vérité
Alors pourquoi frimer ?